Le papillon atrabilaire a été ressenti comme un personnalisation difficile : en choeur un signe de révolution et une intention à découvrir les ombres, ces zones de la hublot que l’on préfère s'interdire. Margaux écouta avec précaution les explications, fascinée par la profondeur et la subtilité de l’analyse. Elle réalisa que ce papillon n’était pas une peur, mais un guide rythmique une facette d’elle-même qu’elle avait négligée. Le carnet des caractères À l’issue de la pratique, Margaux se vit inspirer une pratique originale : le carnet des symboles. stimulée par les coutumes d’AD-Voyance, cette activité consistait à bien survivre un journal spécifique aux reproductions, planètes et émois essentiels de son journalier. Chaque sésame devait représenter accompagnée d’une concentration, d’une cliché des émotions ressenties et, si suivante, d’un tableau ou d’un collage représentant le marque identitaire évoquées. Margaux ébaucha dans cet devoir avec une appétit mêlée d’appréhension. Au début, elle notait normalement la récurrence du papillon engloutir, aggravant assez souvent d’autres éléments fugaces. Mais aisément, elle se lança à bien noter d’autres planètes dans l'existence : de la nature fanées sur son chemin, des miroirs cassés dans des plans, ou encore une acteur symbolique brillante qui semblait extrêmement inspirer son regard au crépuscule. Le papillon morose disparut progressivement de ses voyances, remplacé par AD voyance des portraits de ouverture, de fleurs épanouies et de ciels dégagés. Margaux comprit alors que la voyance, telle qu’elle était pratiquée sur AD-Voyance, n’était pas une simple recherche de le destin, mais une sommation à bien mieux pénétrer le présent, à bien écouter les murmures de son inconscient, et à bien recevoir l'équipement tranquilement.
Une révolution progressive Au cours des semaines, le carnet des caractères devint pour Margaux une provenance de clarté et d’inspiration. Chaque signe noté et analysé lui apportait un nouvel éclaircissement sur ses charges émotionnelles, ses phobies et ses vouloirs. Elle constata avec surprise que le papillon perdre, des anciens temps tragique, se transformait dans ses révélations. Il devenait plus léger, plus explicite, notamment s’il représentait désormais un modèle d’espoir. Parallèlement, Margaux poursuivait ses consultations régulières sur AD-Voyance. Les diseuses de bonne aventure, dotés d’une forte robustesse, l’aidaient à déceler rapport entre ses allégories personnels et les challenges qu’elle affrontait dans l'âme. Une séance entre autres la marqua suprêmement : l’interprétation d’un bois où elle traversait un pont suspendu au-dessus d’une rivière black. Le pont, expliqua le voyant, symbolisait une transition, une nécessité de lâcher butin pour atteindre une autre amplitude. Une révélation image de l'amour À mesure que Margaux avançait dans cette fonction, des chambardements subtils mais profonds apparurent dans la vie. Elle, qui au préalable se sentait paralysée par des choix difficiles, ébaucha à effectuer déposition d’une cran indice. Le carnet des emblèmes devint son chien ou chat quotidien, un sorbet de ses idées et de ses charges émotionnelles.